Du nouveau pour les entreprises bretonnes et leur service client

Dans la jungle des numéros et des services de téléphonie dédiés aux professionnels, il faut savoir s’y retrouver et faire le tri. Pour les entreprises qui souhaitent optimiser leur service client, de nombreux choix sont possible.

La valse des numéros

Par exemple, une entreprise bretonne peut choisir d’opter pour un numéro court dédié. L’ouverture de ce type de numéro est taxé par l’état (un coût non négligeable) mais à l’utilisation, il se retient très facilement et peut s’envisager sous de nombreuses formes de tarification. La première et la plus connue est bien évidemment la tarification « gratuite » pour l’appelant, l’entreprise prenant en charge les frais liés à la communication. Ensuite il est possible d’envisager des très nombreuses autres de formes de tarification : l’appel, à la minute, surcoût à la première minute, etc. Les choix sont multiples et souvent cela permet au service client de trouver un certain équilibre financier. Ce type de numéro est très souvent utilisé par les entreprises procurant un service payant par téléphone, comme la voyance par exemple. Mais encore aujourd’hui, l’utilisation de ce type de numéro reste marginale.

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Numéro court Idélio

Pour la plupart des entreprises, il parait plus pertinent et économique de proposer un numéro traditionnel (dix chiffres) et d’adapter la tarification de ce numéro en fonction des besoins de sa clientèle. Par ailleurs, l’appellation de ces numéros est connue du grand public, car elle appartient à l’opérateur historique France Telecom.  Il s’agit naturellement des numéros dits « vert », « azur » ou encore « indigo ». Ces appellations seront justement supprimées d’ici à 2015, afin de procurer plus de simplicité dans leur utilisation et plus de transparence pour leurs utilisateurs. Il faut bien reconnaitre que bien souvent, les utilisateurs ne savent pas véritablement ce qu’ils payent, à qui et pourquoi.

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Pour simplifier l’équation, l’état à donc décider de légiférer. Les opérateurs de numéros courts auront donc bientôt pour obligation de communiquer à leur clientèle bretonne les nombreux changements d’appellation ou tarifaire. C’est normalement le client final qui doit sortir gagnant de cette nouvelle loi…