La situation actuelle des agriculteurs en Bretagne

L’année 2016 n’a pas été de tout repos pour les travailleurs en général. Ceux du secteur agricole quant à eux sont passés par bien des épreuves controversées. Ainsi, la Bretagne qui est connue comme une région extrêmement productive a enregistré des chiffres peu satisfaisants cette année dans le secteur agricole.

L’Institut national de la statistique et des études des économies qui est en charge des analyses et de la transmission des statistiques en France a rendu un bilan alarmant concernant la Bretagne. On note une chute dans plusieurs domaines du secteur primaire. Cependant, cette situation pourrait s’améliorer dans les prochains mois.

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Une condition embarrassante

Bien que les chiffres montrent une baisse dans le secteur agricole, les travailleurs bretons n’ont perdu en rien leur détermination à obtenir de meilleurs résultats à l’avenir. Les secteurs qui sont le plus touchés sont : le secteur de l’élevage laitier, et celui de la culture de céréales. D’autre part, la production en vin a aussi baissé de 4,3%, pour une somme de 9,1 milliards d’euros à propos des vins d’appellation d’origine.

  • l’élevage laitier : selon des analyses effectuées par l’Insee, les éleveurs du grand-ouest et de l’est auraient obtenu des résultats essentiellement négatifs. On remarque alors que le revenu imposable de ces derniers est passé de 14.500 euros en 2015, pour 2.500 euros en 2016. Aussi, dans le Massif Central, on note une baisse des chiffres qui étaient déjà affaiblis par la crise de 2015. Il s’agit précisément d’une chute de 20%.  
  • la culture de céréales : les experts parlent d’une chute historique quand ils font référence aux chiffres actuels dans ce secteur. Suite à des accidents climatiques en plus d’une baisse des cours mondiaux, les céréales ont été victimes d’une baisse de 31% en 2016. Soit une production à 7,7 milliards d’euros, une baisse taxée de légendaire. Aussi, le marché de la viande bovine a souffert des problèmes de lait étant donné que l’abattage de vaches laitières a considérablement augmenté. On justifie cette augmentation par la réforme pour essayer de baisser la production de lait. Ainsi, la production de bovins est en baisse de 4,1%.

Par ailleurs, les chiffres qui représentent l’élevage porcin se sont améliorés après deux longues années de contrariété. On observe une augmentation de 4% à 3,1 milliards d’euros. Néanmoins, malgré les forts pourcentages de baisse observés ici et là, on aspire à des résultats plus brillants en 2017. Toujours est-il que le secteur primaire constitue une grande partie de l’économie de la région. On devrait à ce titre pouvoir réaliser un exploit pour que resplendisse à nouveau le secteur agricole breton.  

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